Battling Impostor Syndrome and Excelling in Photoshoots

Thursday, July 18, 2024

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Each opportunity to meet a model for a portrait session is an enthralling adventure, marked by rich preliminary discussions. These exchanges allow me to understand the model’s desires and align them with my current skills and knowledge.

However, certain projects present technical challenges and demands that exceed my still-developing comfort zone. Despite my burning passion and the positive feedback on my portraits, as well as the increasing requests via my Instagram, I am, quite literally, a photographer in the making. I have not yet accumulated thousands of photoshoots, nor have I developed foolproof routines. My approach largely relies on instinct and feeling, improving with each encounter.

When the project is well-defined, a period of intense research and experimentation follows, aiming to meet the model’s technical and artistic expectations. It is during this phase that impostor syndrome creeps in. Doubts arise: do I have what it takes for this project? Will I be able to produce a satisfactory result for both the model and myself? Have I ventured into terrain too perilous?

Re-Evaluating Responsibility Sharing in Artistic Collaborations

A deeper reflection leads me to adopt a realistic perspective. In the context of a non-commercial photographic collaboration, where only passion and artistic pursuit matter, and which is the only type of session I practice, the success of a photoshoot depends as much on the photographer as on the model. It is essential to recognize this symbiosis.

I believe it is crucial to make models understand that the photographer is neither a magician nor a superhuman. The success of a photoshoot is a shared responsibility, requiring mutual involvement and an understanding of respective roles. With this understanding, the model becomes more engaged, recognizing that the shoot’s success also hinges on her commitment.

Building Confidence Through Attitude and Behavior

Indeed, the model’s involvement, although her own responsibility, is driven by effective direction, which must be stimulated by confidence I need to generate through my attitude, behavior, and human qualities. Therefore, it is essential that each photoshoot provides me with experience in these aspects, helping to build this trust relationship and constantly improve the quality of our collaboration.

Overcoming Doubt Through Clarity and Communication

It is this shared awareness and open communication that help me overcome doubt. Recently, I have taken the initiative to publish on my site the stories of my photographic experiences and collaborations, and to explain my artistic choices. This transparency helps me build strong relationships with models and evolve as a photographer.

By writing down these reflections, I lay the foundations for future collaborations and develop my own working methods. I firmly believe that this approach helps me progress continuously.

Ultimately, battling impostor syndrome involves first accepting that the success of an artistic collaboration rests on a delicate balance of shared responsibilities, mutual commitment, and sincere communication. Each upcoming photoshoot can thus transform into a unique and enriching adventure for all involved, offering me a new opportunity to grow as an artist.

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Lutter contre le syndrome de l’imposteur et réussir ses shootings : Une réflexion approfondie

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Chaque opportunité de rencontrer une modèle pour une session de portraits est une aventure captivante, marquée par des discussions préliminaires riches. Ces échanges permettent de cerner les désirs de la modèle et de les harmoniser avec mes compétences et connaissances actuelles.

Cependant, certains projets présentent des défis techniques et des demandes qui transcendent ma zone de confort, encore embryonnaire. Malgré ma passion dévorante et les retours positifs sur mes portraits, ainsi que les demandes croissantes via mon Instagram, je demeure, au sens littéral, un photographe en devenir. Je n’ai pas encore accumulé des milliers de shootings, ni élaboré de routines infaillibles. Mon approche repose largement sur l’instinct et le ressenti, m’améliorant au fil des rencontres.

Lorsque le projet est bien défini, s’ensuit une période de recherches intenses et d’expérimentations visant à atteindre les attentes techniques et artistiques de la modèle. C’est durant cette phase que le syndrome de l’imposteur s’insinue. Les doutes émergent : ai-je les épaules pour ce projet ? Réussirai-je à produire un résultat satisfaisant pour la modèle et pour moi-même ? Ne me suis-je pas aventuré sur un terrain trop périlleux ?

Questionner le partage des responsabilités dans une collaboration artistique

Une réflexion plus profonde m’amène à adopter une perspective réaliste. Dans le cadre d’une collaboration photographique non commerciale, où seules la passion et la quête artistique priment, et qui est le seul type de session que je pratique, le succès d’un shooting repose autant sur le photographe que sur la modèle. Il est essentiel de reconnaître cette symbiose.

Je pense donc qu’il est crucial de faire comprendre aux modèles que le photographe n’est ni un magicien ni un surhomme. La réussite d’une séance photo est une responsabilité partagée, nécessitant une implication mutuelle et une compréhension des rôles respectifs. À travers cette compréhension, la modèle s’implique davantage, reconnaissant que le succès du shooting repose aussi sur son engagement.

Stimulation de la confiance par l’attitude et le comportement

Bien entendu, l’implication de la modèle, bien que de sa responsabilité, passe par une direction efficace qui doit être stimulée par une confiance que je dois générer par mon attitude, mon comportement et mes qualités humaines. Il est donc primordial que chaque shooting me permette d’acquérir de l’expérience dans ces aspects, afin de consolider cette relation de confiance et d’améliorer constamment la qualité de notre collaboration.

Émerger du doute par la lucidité et la communication

C’est cette conscience partagée et cette communication ouverte qui me permettent de surmonter le doute. Récemment, j’ai pris l’initiative de publier sur mon site les récits de mes expériences photographiques et de mes collaborations, et d’expliquer mes choix artistiques. Cette transparence m’aide à bâtir des relations solides avec les modèles et à évoluer en tant que photographe.

En couchant par écrit ces réflexions, je pose les fondations de collaborations futures et développe mes propres méthodes de travail. J’ai la conviction que cette démarche m’aide à progresser continuellement.

En fin de compte, combattre le syndrome de l’imposteur implique déjà d’accepter que la réussite d’une collaboration artistique repose sur un équilibre délicat de responsabilités partagées, d’engagement commun et de communication sincère.

Chaque séance photo à venir peut ainsi se transformer en une aventure unique et enrichissante pour tous ses protagonistes et m’offre une nouvelle opportunité de grandir en tant qu’artiste.